Par Gabriel Batty...
Il y a quelques jours, je reçois une drôle d’invitation, par mail. Une certaine Floriane, de l‘agence Ketchum me fait parvenir un mail, m’annonçant qu’un petit raout est donné à l’occasion du lancement de la dernière version de Norton, l’antivirus.
Sur le Bristol, un Playmobil pose à côté de la célèbre licence jaune et noire. Ca m’intrigue.
Et le programme à l’air pas mal.
Rendez-vous en fin de journée, dans un célèbre hôtel-restaurant parisien, « Il Lotti », un quatre étoiles du côté de Concorde. Les festivités doivent commencer par une conférence de presse de présentation de l’outil. Ensuite, il est prévu que nous allions tous ensemble visiter l’expo consacrée au petit bonhomme en plastique, qui se tient actuellement au musée des arts décoratifs. Puis, tout cela doit se conclure par un cocktail dinatoire.
Alléché à la fois par mon amour sans des quatre étoiles, et par ma passion pour les Playmobiles, je décide de répondre favorablement à l’invitation. Ma douce accepte gentiment de m’accompagner. Parce que si y’a bien un truc que je redoute dans ce type de convivialité, c’est de me retrouver seul à faire la conversation avec moi-même. Je m’épuise souvent très vite dans ma propre conversation.
Le jour J, nous arrivons à l’heure. C’est déjà une grande première pour moi. Sur le perron de l’hôtel, Floriane et David, son collègue nous attendent, et nous guident vers la salle où se tiendra la conférence de presse.
La population est composée de bloggeurs, de journalistes de la presse écrite et de spécialistes. Les représentants de Norton complètent l’assemblée. 17h30, première coupe de champagne.
18h00, début de la conférence de presse.
Celle-ci se déroulera en deux parties, bien distinctes, et ciblées vers des populations très différentes.
1ère partie, un orateur spécialiste de la sécurité et des risques sur Internet nous présente en long, en large, et avec brio, tous les risque qu’internet peut faire peser sur notre sécurité au quotidien. Virus, spams, vols d’identités numériques, trafics de numéros de carte bleues et autres désagréables plaisanteries… Internet regorge de pièges au quotidien, auxquels il convient d’apporter les réponses adaptées.
L’orateur est brillant, et dans une présentation à l’américaine, ponctuée d’effets de manche, d’humour et de phrases chocs, parvient à capter l’attention de l’auditoire.
L’antivirus Norton est LA solution… !
D’ailleurs, je suis pas loin d’en être convaincu. Le produit répond à mes critères principaux : simplicité, intuitivité, convivialité et fiabilité.
Personnellement, j’en demande ni plus ni moins.
La deuxième partie de la présentation est inversement proportionnelle à la première. Le Yin et le Yang. Ciblage geeks et informaticiens. J’y comprends rien, et je décroche dés la première minute. En gros, je crois qu’on explore dans le menu détail, les fonctionnalités de cette nouvelle version.
Je retiens néanmoins qu’elle m’offre automatiquement un espace de sauvegarde sécurisé des deux gigas de données, ce qui en volume texte est quand même assez conséquent, et pourrait à l’avenir m’éviter quelques désagréments.
Autre chose : si j’installe la version sur un PC plein de vilain virus, le logiciel corrige automatiquement les anomalies.
Ca, ça me parle !
Fin de la première partie, nous partons en direction de l’expo.
L’analogie avec Playmobil m’est enfin partiellement expliquée. En fait, on me livre deux explications :
- Analogie entre Playmobil et Internet : le royaume de l’imaginaire, où tout est possible.
- Liens dans la simplicité d’utilisation : aussi faciles et conviviaux l’uns que l’autre…
Les deux versions me vont.
Nous intégrons le groupe des boggueurs pour nous rendre à l’expo. Autant le dire, les interactions que nous auront avec les autres ne seront pas limitées… elles seront inexistantes. Les visites de groupe, c’est pas forcément notre truc. D’ailleurs, à peine entrés dans l’expo, on fausse compagnie à notre petit collectif. On se retrouvera à l’hôtel pour le cocktail. Alors OK, on rate la présentation passionnée d’une demi-heure sur la fabrication du petit bonhomme en plastique… On préfère s’attarder sur les grandes scènes pleines de détails, recréant des univers playmobils, qui nous sont proposées.
Le cirque, le zoo, la savane… Des centaines, des milliers de petits bonshommes, pleins d’accessoires… C’est plutôt sympa.
Come je vous le disais, on perd le groupe… rapidement. Qu’on retrouve ensuite à l’hôtel pour le fameux cocktail. Ma chère et tendre craignait le repas assis, et servi autour d’une table. La voici rassurée.
Le lieux est beau, magnifique, baroque, doré… On l’appelle le plus petit des grands hôtels. C’est exactement ça. Un des représentants de Norton me confiera plus tard, qu’on est là, pas loin de ce que Norton peut offrir de mieux.
Attention les amis, à ne pas habituer les bloggeurs à tant de confort. On y prend goût.
Et puis, je me demande ce que ça aurait été si on avait bossé pour TF1. Un survol de Paris en hélicoptère ?
Le cocktail, bien. Très bien même. Je regrette juste qu’un temps de présentation n’ait pas été organisé entre bloggeurs, juste histoire de visualiser le fameux « qui est qui » (sans Marie-Ange Nardi / je sais, c’est naze, mais j’ai pas pu résister…).
Quelques coupes de champagne plus tard, on repart dans nos contrées, c'est-à-dire, environ à 15 minutes de métro de là.
Bilan : Soirée bien sûr positive. Ambiance décontractée, classe et détendue. Un bon équilibre.
Présence de l’agence Ketchum, agréable sans être étouffante.
Concernant la nouvelle version de Norton, plusieurs choses.
Le produit semble accessible. Tant dans l’accessibilité, que dans les fonctionnalités d’utilisation.
Petit bémol au niveau de la politique tarifaire : environ 90 euros à l’achat, mais valable juste pour un an. Par la suite, il faut renouveler l’achat de la licence pour un montant d’environ 80 euros. Je trouve ça un poil cher, mais l’argumentaire se défend…
Mais il est honnêtement assez délicat de se prononcer véritablement sur une évaluation fonctionnelle du produit. Celui-ci prouvant sa réelle utilité ou ses limites après quelques temps d’utilisation quotidienne, rendez-vous dans quelques mois pour un bilan à mi-mandat.
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